#Real Estate Article
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probablyasocialecologist · 1 year ago
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Remote work risks wiping $800 billion from the value of office buildings in major cities, highlighting the potential losses that landlords are facing from post-pandemic changes in employment trends.
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angevinyaoiz · 1 month ago
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everything I learn about al-Afdal is like…..RIP dude… u never stood a chance
(From this article, “Eagles in the Sun: The Ayyubids After Saladin” by Paul A. Blaum)
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zvaigzdelasas · 1 year ago
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love when people promote the idea jews are money grubbing in their supposed leftist activism. why don’t you just call me a kike at this point🤷🏻 i’m saying this as someone who’s anti settler too
D- bait better luck next time
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bubmyg · 6 months ago
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carats doxxing a member to make eat the rich jokes truly worms for brains
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earl-grey-love · 8 months ago
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I've been drawing like all day, and good posture isn't easy to maintain so now I'm like stiff and sore 😔 So um maybe it would be better if I could sit in Barbs or Mephis lap while I continue? Yeah that'd be nice 🥰
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thebusylilbee · 2 years ago
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Le centre de Paris interdit à Airbnb ? Ce qui semblait impensable il y a dix ans est en passe de devenir réalité : la ville de Paris va interdire les nouveaux meublés touristiques dans les quartiers de la capitale qui souffrent d’un déficit de logements, comme le Marais, le Sentier, le Quartier latin ou la butte Montmartre. La mesure devrait être gravée dans le marbre du futur Plan local d’urbanisme (PLU), en cours de révision. [...]
«No-go zones»
La mairie centrale travaille actuellement, main dans la main avec les mairies d’arrondissement et l’Atelier parisien d’urbanisme (Apur), à délimiter ces zones, qui devraient inclure au moins Paris Centre (Ier, IIe, IIIe et IVe arrondissements) et Montmartre (XVIIIe). Une carte de ces «no-go zones» pour les nouveaux Airbnb sera présentée aux élus parisiens lors du conseil municipal de juin, qui sera consacré à l’examen puis au vote du plus gros chantier de la deuxième mandature d’Anne Hidalgo : la révision du PLU, le document qui définira les nouvelles règles de construction, de transformation et de création d’espaces verts pour au moins les dix années à venir.
«Nous voulons mettre un coup d’arrêt à la création de nouveaux meublés dans les secteurs où il n’y a quasiment plus de résidents permanents», a expliqué jeudi Emmanuel Grégoire, le premier adjoint PS, chargé de l’urbanisme, lors d’une déambulation dans le quartier du Sentier. «Si on ne veut pas que Paris se transforme en Venise, il ne faut pas laisser faire le marché», a ajouté le bras droit d’Anne Hidalgo. L’interdiction, a-t-il précisé, ne s’appliquera pas aux Parisiens qui louent leur résidence principale, dans la limite de 120 jours par an, mais uniquement aux investisseurs professionnels.
Ici, rue de la Lune , c’est un immeuble entier qui a été progressivement «mité» par les locations touristiques. «Petit à petit, des gens ont racheté les appartements qu’ils ont transformés en meublés touristiques. Au bout d’un moment, vous vous retrouvez avec une sorte de résidence hôtelière», explique Dorine Bregman, adjointe chargée des commerces et du tourisme à la mairie de Paris Centre. «Il y a toujours eu des propriétaires bailleurs à Paris, pour obtenir un complément de revenus pour la retraite, par exemple, mais quand le phénomène des locations touristiques est arrivé, les gens se sont aperçus assez rapidement que c’était beaucoup plus lucratif de louer à la semaine, voire deux, trois jours, que de louer sous le bail classique de trois ans». Là, rue des Jeûneurs, en plus des appartements dans les étages, c’est le rez-de-chaussée, jusque-là occupé par un local commercial, qui a aussi changé de destination. La vitrine a été opacifiée, et le tour est joué.
«Pendant des années, nous avons été désarmés, puis, avec [l’adjoint au logement] Ian Brossat, on a pu reprendre la main», a reconnu Emmanuel Grégoire. Comme les autres capitales du globe, Paris a d’abord subi, impuissante, la déferlante de ces locations meublées de courte durée, qui ont fait monter les prix et chassé les habitants des quartiers centraux, entraînant avec eux la fermeture de commerces de bouche ou de services à l’habitant, comme les blanchisseries. [...]
La régulation a fait son effet
La France est le deuxième marché mondial pour Airbnb, derrière les Etats-Unis. Première destination touristique mondiale, sa capitale reste une ville de cocagne pour la firme de San Francisco, surtout dans la perspective des Jeux olympiques l’été prochain. D’où l’urgence de compléter l’arsenal juridique mis en place à partir de 2018 par Ian Brossat, à base de régime d’autorisation préalable et de règles strictes de compensation pour les professionnels, en parallèle à l’obligation faite à Airbnb de désactiver les annonces, désormais pourvues d’un numéro d’enregistrement, dont le nombre de nuitées dépasse 120. Ainsi, depuis janvier 2022, tout changement d’usage d’un commerce en meublé touristique est désormais soumis à autorisation de la mairie et les logements transformés en locations touristiques doivent faire l’objet d’une double, voire d’une triple compensation en surface. Il était temps : en à peine deux ans (2020-2022), un commerce sur huit a été transformé en meublé touristique au cœur de la capitale, selon Dorine Bregman, l’adjointe de Paris Centre. De manière générale, la régulation a produit son effet, puisqu’on assiste à un «tassement du nombre de meublés touristiques déclaré», affirme Emmanuel Grégoire.
[...] Longtemps hostile à toute réglementation, au point d’adresser régulièrement des «bras d’honneur» à la mairie, dixit Ian Brossat (1), la plateforme américaine assure aujourd’hui être non seulement en règle, mais avoir renoué avec son mythe fondateur, puisque «les trois quarts des hébergements loués l’an dernier à Paris sur Airbnb étaient des résidences principales ou des chambres chez l’habitant». Omettant de rappeler la bataille qu’a dû livrer la ville de Paris (mais aussi d’autres métropoles régionales et jusqu’à l’île d’Oléron, qui a attaqué récemment la firme en justice) pour récupérer la taxe de séjour. Sans parler des tentatives, infructueuses celles-là, pour qu’Airbnb paie des impôts en France à proportion du chiffre d’affaires qu’y génère son activité : peine perdue, puisque la maison mère est basée en Irlande, un quasi-paradis fiscal.
«Un trou dans la raquette»
Cette offensive pour «déloger» Airbnb n’est pas que parisienne : la municipalité écologiste d’Annecy, victime à son tour de son attractivité, a ouvert la voie en votant fin février la mise en place de quotas de meublés de tourisme pour tenter de faire revenir sur le marché plusieurs centaines de logements. Ces quotas s’appliqueront dès juin dans la commune, qui a été divisée en trois zones, la plus restrictive étant la vieille ville, très touristique. Une mesure jugée «discriminatoire et disproportionnée» par le Syndicat Annecy Meublés, représentant les intérêts des loueurs, qui a annoncé son intention de saisir la justice. Le lobby des professionnels de l’immobilier, qui a déjà eu la peau de l’encadrement des loyers (finalement rétabli), va-t-il repartir à l’attaque contre le régime d’interdiction appelé à se mettre en place à Paris ?
La transformation des logements et commerces en meublés de tourisme étant désormais très encadrée, les élus parisiens redoutent que l’appétit des investisseurs ne se tourne désormais vers les bureaux. D’autant qu’avec la généralisation du télétravail, les besoins des entreprises en m² de bureaux se sont beaucoup réduits. «Ce qui nous manque aujourd’hui, ce sont des déclarations préalables pour la transformation de bureaux en Airbnb, et puis il y a un trou dans la raquette concernant les locations de passoires thermiques, sur lesquelles il y avait une exception pour les meublés touristiques», confirme Emmanuel Grégoire.
Pour boucher ces trous, la ville compte sur la proposition de loi transpartisane visant à «remédier aux déséquilibres du marché locatif en zone tendue», qui sera débattue le 13 juin à l’Assemblée. Selon son corapporteur, le député de la Nupes Iñaki Echaniz, présent lors du déplacement dans le Sentier, son article 2 propose justement «d’étendre aux meublés touristiques le droit de regard des élus», en leur permettant de mettre en place une autorisation préalable à la location touristique. Ce régime dit «de changement d’usage d’un local», bureaux inclus, ne concerne aujourd’hui que les communes de plus de 200 000 habitants et trois départements de la petite couronne francilienne, a précisé le député socialiste.
Véto fiscal de Bercy
Reste le nerf de la guerre : la fiscalité. Relayant une demande ancienne des associations de mettre fin à la «niche fiscale Airbnb», l’article 3 de la proposition de loi suggère de réduire l’abattement dont bénéficient les investisseurs sur leurs revenus locatifs, qui peut aller jusqu’à 71 % ! «Je plaidais aussi pour une révision de la taxe sur les résidences secondaires, mais Bercy ne veut pas en entendre parler», a regretté Iñaki Echaniz. Explication : cette taxe est une majoration de la taxe foncière. En raison de ce «couplage», toute hausse de la première entraîne mécaniquement une hausse de la seconde. Résultat, les maires qui voudraient augmenter la pression fiscale sur les résidences secondaires pour inciter les propriétaires à remettre sur le marché ces logements inoccupés une bonne partie de l’année devront augmenter les impôts locaux. Aucune chance qu’ils le fassent… D’où l’idée portée par le Parti socialiste d’un «découplage», sur lequel Bercy a mis, sans surprise, son veto.
Ce n’est pas comme si la crise du logement ne frappait pas durement, non seulement l’Ile-de-France, mais une bonne partie du littoral atlantique. Le député basque a décrit le défilé dans sa permanence électorale des saisonniers, étudiants ou membres du personnel de l’hôpital de Bayonne, qui ne trouvent plus à se loger «là où ils travaillent et là d’où ils viennent». La raison ? Le boom des meublés de tourisme, qui ont augmenté de 130 % entre 2016 et 2020 dans la communauté d’agglomération du Pays basque. «Même dans l’arrière-pays, les prix montent. Au centre du Pays basque, une maison achetée 120 000 euros il y a trois ans a été remise sur le marché, avec une piscine en plus, à 400 000 euros, a illustré l’élu. Or nos territoires ne sont pas seulement des centres de vacances : on souhaite avoir des gens qui y vivent !»
Dédiabolisation des «méfaits du business»
Alors qu’Airbnb est montré du doigt pour son rôle dans cette crise, la firme a lancé une opération de séduction pour tenter de redorer son image. «Avec la ville de Paris, la relation est forte, il y a toujours des moyens de l’améliorer mais nous serons un partenaire extraordinairement important du logement», a assuré Brian Chesky, son PDG, dans un entretien aux Echos publié mardi. Et, à moins de 500 jours du top départ des JO, elle se décarcasse pour montrer à quel point sa présence sera bénéfique à l’économie française. Par exemple, elle a commandé une étude au cabinet de conseil Deloitte, qui chiffre à 1 milliard d’euros les retombées économiques attendues pour la France. Un chiffre largement repris dans les médias. Ainsi, les quelque 560 000 touristes «qui séjourneront dans des hébergements loués sur Airbnb pendant les Jeux généreraient un milliard d’euros de chiffre d’affaires, 73 millions d’euros de recettes fiscales (dont 15 millions de taxes de séjour) et devraient permettre la création de près de 7 300 emplois équivalents temps plein dans l’année», détaille l’étude.
Du côté des 130 000 hôtes attendus, Airbnb fait miroiter un jackpot : selon Deloitte, ils devraient empocher 221 euros par nuit en moyenne entre le 26 juillet et le 11 août. Soit une hausse de 85 % par rapport au revenu moyen en 2022 (119 euros). «Cette étude n’a pour but que de dédiaboliser les méfaits du business des meublés de tourisme sur notre territoire et de redorer l’image de l’entreprise, s’agace Vincent Aulnay, membre du collectif ParisvsBnB, cité par le Parisien. Oui, il y aura des retombées économiques fortes durant cette période, mais après ? Va-t-on voir encore une vague d’investisseurs jouer au Monopoly dans nos villes ? Trop de jeunes, de foyers modestes ont énormément de mal à se loger, des quartiers se vident, des classes ferment…» Pour ou contre Airbnb ? Après les trottinettes en libre-service, autre marqueur contesté de la «ville ubérisée», la question ne pourrait-elle pas aussi faire l’objet d’une votation citoyenne ?
(1) Voir son livre Airbnb, la ville ubérisée, éd. La Ville brûle, 2018
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thoughtportal · 1 year ago
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Historic Westwood water tower sold to new owner for $15K
The water tower serviced the Western Hills area from 1912 to 1976, Kevin Osborne, who handles public engagement and government relations for Greater Cincinnati Water Works, previously told The Enquirer. According to its real estate listing, it was built in 1910.
Jermaine Matthews owned the tower since 2021. Before that, the structure had multiple owners. Osborne said the city sold it to a private owner in 1979.
Realtors listed the three-story water tower as a commercial space, and suggested several uses for it, including a hair salon, hotel, daycare or even a restaurant.
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thesugarhole · 1 year ago
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quick venting post just as i finally began internalizing 'oh well play the cards im dealt' and try to find some comfort in the life i currently have and making future plans to go for an easier get-by once i have a safety net (savings) its like. im suddenly and steadily bombarded by messages like 'make sure you do what you want now dont let life take you on the predicted path its a risk you gotta take' like fucking hello??? theyre not mutually exclusive to a degree but its also... idk to explain its like if you dont have it planned from 10 years old then you might have some good experiences but its never the life youll want. and its direct conflit with 'never too late to start doing something'
yesterday night for example i opened the 'news' (its more articles full of advertising and soccer than actual news) tab on my phone and there was one like 'tips from CEO who retired at 44!' and it w
boiled down to, quote 'having life planned to the microscopic detail by the time she was 20' (im 27 this year, fucking come on) studied hard, worked hard for the first youthful years, made it to portugal microsoft ceo(?) and amassed enough to retire early.
it was mentioned she lost her parents early (at 50yos, but how old was she then?) that helped push her to plan it like this but like. well first of all i guess im still too bright eyed because i dont believe this ceo thing possible without loosing morals/ideals along the way (ive yet to met a ceo thats not incredibly out of touch and wants to fuck over everyone and everything for their own gain), but i find it harder to believe there was no silver spoon, especially for those first years. granted if shes 44 now she probably had an easier economy then, but hm. millions work hard from the moment theyre born, how come they don't retire at 44?
the investments. there it was. 'oh i invested in real estate and other small things' thats not hard work, thats gambling. and thats the exact moral loss i expected, the way real estate in portugal is now. and god this pisses me off so much what the FUCK does 'invest in real estate' EVEN MEAN?? you want me to buy stocks off some company?? you want me to buy a house and become a landlord?? i dont even have a place for myself, much less for the tourists and digital nomads. and for every one person saying they got rich off investing, oh you gotta invest smart etc theres 10 currently trying and bleeding money and about 30 that already gave up on it. like it genuinely feels like any other get rich quick scheme where its disheartening that it worked for a couple people and those couple people already had money to begin with
idk if any if this is gonna make sense im writing from heart and whatever the text leads but you understand this right. like my current goal is to just find something later on that will pay decent, not make me slowly but steadily give up on it and have personal time for hobbies. and then i get this shit thrown at me. in 4 months ive been broken down enough that the ridiculous honey pot that is 'invest! stocks! etc!' is starting to appeal to me. like i am not going to be different from the other failure cases im not one lottery away from being set for life. and at the very least im not putting money in the machine selling 40m2 studio apartments for 1 million euros to foreigners while throwing people in the streets if they had houses, jail if they were illegally occupying abandoned houses with no roof. fuck sakes
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monstrosity-positive · 1 year ago
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omg yes girl get comfy ... ❤️
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sm-realty-marketing-blog · 1 year ago
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My Journey To Become a Successful Luxury Real Estate Agent in 2023?
A luxury real estate agent is a term that refers to an individual who is a specialist in the buying and selling of luxury real estate, including luxury homes and luxury apartments. Luxury real estate has special features and dynamics in the real estate market. The nature of luxury real estate is different from other real estate, so completing luxury real estate tasks require luxury real estate agents. To become a luxury real estate agent, an individual requires specific education to understand the concept of luxury real estate. Knowledge is always helpful in understanding the luxury real estate and economics of the country.
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orionrealtor · 1 day ago
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Exploring Residential Projects in Gurgaon: Luxurious 2/3/4 BHK Flats
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Gurgaon, located in the state of Haryana, has emerged as one of India's most sought-after real estate destinations. With its rapidly growing infrastructure, world-class amenities, and proximity to the national capital, Gurgaon has become a hub for residential projects that cater to the aspirations of modern homebuyers. This article aims to delve into the thriving real estate market in Gurgaon, focusing specifically on the availability of luxurious 2/3/4 BHK flats in the city. Whether you are a first-time homebuyer or looking to upgrade your living space, Gurgaon offers a wide range of residential projects that provide comfort, convenience, and opulence.
The Growing Real Estate Landscape in Gurgaon
Gurgaon has witnessed a remarkable transformation in recent years, evolving into a bustling metropolis known for its corporate offices, commercial establishments, and residential complexes. The city's strategic location, excellent connectivity, and robust infrastructure have made it a preferred choice for real estate developers. With an increasing demand for quality housing, several prominent developers have launched residential projects across Gurgaon, catering to different budgets and preferences.
Luxury Living: The Essence of 2/3/4 BHK Flats
In response to the evolving lifestyle preferences of homebuyers, Residential Projects in Gurgaon offer a wide range of 2/3/4 BHK flats that exude luxury and sophistication. These flats are designed to provide residents with spacious and well-planned living spaces, along with a host of modern amenities. From well-equipped kitchens to plush interiors and from landscaped gardens to state-of-the-art security systems, these residential projects leave no stone unturned in offering a comfortable and lavish lifestyle.
Top Residential Projects in Gurgaon
Gurgaon boasts a plethora of residential projects that cater to the varying needs of homebuyers. Here are some of the top projects known for their luxurious 2/3/4 BHK flats:
Imperia Esfera: Located in the heart of Gurgaon, Imperia Esfera offers a range of 2/3/4 BHK flats designed to provide residents with a blend of modern amenities and a serene environment.
Ramprastha Primera: Situated in a prime location, Ramprastha Primera is known for its spacious 2/3/4 BHK flats that come with top-of-the-line facilities, including a swimming pool, clubhouse, and landscaped gardens.
Navraj The Antalyas: Navraj The Antalyas is a gated residential project that offers 2/3/4 BHK flats with contemporary designs and world-class amenities. The project focuses on providing a sustainable and eco-friendly living experience.
Conclusion
Gurgaon's real estate market offers a plethora of residential projects that cater to the growing demand for luxurious 2/3/4 BHK flats. With their well-designed living spaces, premium amenities, and prime locations, these projects redefine modern living. Whether you seek a comfortable home or a lucrative investment opportunity, Gurgaon's residential projects are worth exploring. Embrace the charm of luxury living and make Gurgaon your
dream destination for a perfect home.
Visit: https://www.orionrealtors.com/residential.html
#Residential Apartments in Gurgaon#Gurgaon#located in the state of Haryana#has emerged as one of India's most sought-after real estate destinations. With its rapidly growing infrastructure#world-class amenities#and proximity to the national capital#Gurgaon has become a hub for residential projects that cater to the aspirations of modern homebuyers. This article aims to delve into the t#focusing specifically on the availability of luxurious 2/3/4 BHK flats in the city. Whether you are a first-time homebuyer or looking to up#Gurgaon offers a wide range of residential projects that provide comfort#convenience#and opulence.#The Growing Real Estate Landscape in Gurgaon#Gurgaon has witnessed a remarkable transformation in recent years#evolving into a bustling metropolis known for its corporate offices#commercial establishments#and residential complexes. The city's strategic location#excellent connectivity#and robust infrastructure have made it a preferred choice for real estate developers. With an increasing demand for quality housing#several prominent developers have launched residential projects across Gurgaon#catering to different budgets and preferences.#Luxury Living: The Essence of 2/3/4 BHK Flats#In response to the evolving lifestyle preferences of homebuyers#Residential Projects in Gurgaon offer a wide range of 2/3/4 BHK flats that exude luxury and sophistication. These flats are designed to pro#along with a host of modern amenities. From well-equipped kitchens to plush interiors and from landscaped gardens to state-of-the-art secur#these residential projects leave no stone unturned in offering a comfortable and lavish lifestyle.#Top Residential Projects in Gurgaon#Gurgaon boasts a plethora of residential projects that cater to the varying needs of homebuyers. Here are some of the top projects known fo#Imperia Esfera: Located in the heart of Gurgaon#Imperia Esfera offers a range of 2/3/4 BHK flats designed to provide residents with a blend of modern amenities and a serene environment.#Ramprastha Primera: Situated in a prime location
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death-rebirth-senshi · 2 months ago
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Sometimes I read an article and it's like "I'm so stupid I can barely understand this"
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mondraryfields · 5 months ago
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great quote by dan hoerner
mean street magazine july '00
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delphictrip · 1 year ago
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"One day we will look at five-thousand-square-foot McMansions and Hummers and desert golf courses the same way we look now at thalidomide: a ginormous fuck up."
In Houses without Names, Hubka breaks the working- and middle-class houses that predominated during the twentieth century into three domestic zones: the living room, kitchen, and bedroom(s). The rise of each of these zones is linked to immense changes in standards of living, such as the internalization of plumbing and the advent of electricity, the shift of work outside the home, and the moment in the middle of the last century when individual privacy became attainable in working-class homes. The McMansion adds a fourth zone for entertaining, reflective of the increasing social alienation and distance from urban centers caused by decades of sprawl. Such a profound shift in American life necessitated the internalization of communal spaces—bars, gyms, billiard halls, and the like—into the home itself.
Not that this development is entirely new. There has always been a connection between increasing wealth and intentional isolation, from the palace of Versailles to the petit bourgeois homes of the nineteenth century that were designed for live-in labor. However, between the streetcar Victorians of the 1890s and the McMansions of the 1980s, our entire social and economic order transmogrified. Industrialization and unionization meant the working class could suddenly afford better and bigger homes. Technological progress, standardization of construction, the invention of the automobile, exclusionary financial incentives—including those sponsored by the government—and a century of social unrest drove the almost uniformly white middle class out of the city and into the periphery. The interiors of their homes reflected these seismic transformations.
[…]
The McMansion has also endured because, in the wake of the recession, the United States declined the opportunity to meaningfully transform the financial system on which our way of life is based. The breach was patched with taxpayer money, the system was restored, and we resumed our previous trajectory. The McMansion survived what could have been an existential crisis; it remains an unimpeachable symbol of having “made it” in a world where advancement is still measured in ostentation. It is a one-stop shop of wealth signifiers: modernist décor (rich people like modernism now), marble countertops (banks have marble), towering foyers (banks also have foyers), massive scale (everything I see is splendor). Owing to its distance from all forms of communal space, the McMansion must also become the site of sociality. It can’t just be a house; it has to be a ballroom, a movie theater, a bar.
It is a testament, too, to a Reagan-era promise of endless growth, endless consumption, and endless easy living that we’ve been loath to disavow. The McMansion owner is unbothered by the cost of heating and cooling a four-thousand-square-foot mausoleum with fifteen-foot ceilings. They see no problem being dependent—from the cheap material choice of the house to the driving requirements of suburban life—on oil in all its forms, be it in extruded polystyrene columns or gas at the pump. The McMansion is American bourgeois life in all its improvidence.
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sneil29 · 8 months ago
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bologoday · 8 months ago
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